dimanche 12 août 2012

A-t-on le droit de ne pas être d'accord ?

"Nous ne sommes pas d'accord..."
"Nos avis divergent..."
"Pouvons-nous nous mettre autour d'une table et discuter calmement dans une attitude ouverte et constructive..."

Les désaccords font partie de la vie. Pour peu que les différents protagonistes sachent faire preuve d'écoute, cela peut même devenir une richesse et alimenter un débat démocratique.

A Brandérion, nous n'avons pas le droit de ne pas être d'accord.

Cela est systématiquement interprété comme une opposition frontale, en témoigne le dossier central de la dernière revue municipale datée d'août 2012. L'article intitulé "Divergence d'analyse sur un projet d'intérêt général" n'a d'autres buts que de semer le trouble et le discrédit sur l'APRES Brandérion.

Est-ce la vocation d'une parution municipale ? Une publication municipale se doit de rendre compte de l'action des élus, d'évoquer la vie et les évènements de la commune dans le respect des administrés sans porter atteinte à la dignité des personnes.

Face à cette longue démonstration qualifiant nos prises de position de "confuses", l'autre article présentant l'APRES Brandérion, page 38 de cette même revue municipale, ne fait a priori pas le poids ! Nos objectifs sont pourtant clairement identifiés dans nos statuts.

Fallait-il que l'association l'APRES Brandérion publie ce papier dans ce bulletin municipal ? Nous avons fait ce choix, soucieux de sensibiliser le plus grand nombre de Brandérionnais.

Mais cela s'est fait au prix de longues tergiversations avec la Municipalité. Nous vous proposerons un petit coup de projecteur sur ce "feuilleton" dans un prochain message !


1 commentaire:

  1. Comme il est dommage que cela devienne un "feuilleton", au prix d'une absence d'écoute et de recherche de solutions simples et humaines.

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